Bienvenue sur le blog ReferenSEO !
Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
En tout cas, on vous le conseille vivement si vous êtes en recherche de liberté ! 🤩
Bienvenue à nouveau sur le blog ReferenSEO !
Comme ce n'est pas la 1ère fois que vous venez ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
En tout cas, on vous le conseille vivement si vous êtes en recherche de liberté ! 🤩
En référencement naturel, on entend souvent dire « content is king ». Oui, tout le monde a désormais compris que le contenu éditorial d’un site internet jouait beaucoup pour son classement dans les résultats de moteurs de recherche.
C’est tout ? Bien sûr que non !
De nombreux critères pèsent également dans la balance, donc certains auxquels on ne pense pas toujours. À commencer par les images, qui ne font pas dans la demi-mesure en termes de gains SEO !
1. Uploader les bonnes images
Saviez-vous que les images représentaient 21% du poids total d’une page web ? Oui, on est d’accord que ce n’est pas très bon pour la vitesse de chargement. Vitesse qui, rappelons-le une fois de plus, détermine le degré d’expérience utilisateur pour Google, qui va ensuite s’en servir pour classer votre site dans les SERPS (résultats de recherche).
Quel format choisir pour vos images ?
- Le format JPEG : c’est un peu le standard du web. Rendu largement suffisant, haute qualité, grande densité d’informations… Il a tout pour lui !
- Le format PNG : si vous souhaitez de la transparence pour vos images, c’est celui qu’il vous faut. On le retrouvera notamment pour les logos ou pour toutes les images découpées sur fond coloré.
- Le GIF : c’est souvent le format le plus lourd, puisqu’il s’agit d’un fichier comprenant plusieurs images. À utiliser uniquement quand c’est nécessaire, ou quand il se révèle moins lourd qu’une image JPEG.
Le format nouvelle génération : le webp
Utilisant la compression à perte et sans perte, le format webp a été conçu par Google pour faire gagner, soi-disant, jusqu’à 40% sur le poids d’une image. De quoi optimiser considérablement la vitesse de chargement de vos pages. Le format est d’ailleurs repris sur l’outil de test PageSpeed Insights, qui conseille ce format pour tous vos visuels.
On sait à quel point Google aime que l’on utilise ses outils, surtout quand il s’agit d’améliorer les performances des sites internet et par conséquent, l’expérience utilisateur. On ne saurait que trop vous conseiller d’opter pour ce format d’image à l’avenir !
Comment enregistrer au format .webp ?
Rien de plus simple : il existe de nombreux outils pour exporter vos images en format .webp. À commencer par Firefox, qui propose un plugin directement dans son navigateur (à télécharger ici).
D’autre part, un compresseur en ligne comme Online Convert fera tout aussi bien l’affaire, même si certains préfèreront utiliser le logiciel Photoshop. À vous de voir quelle solution est la meilleure pour vous !
Où trouver vos images ?
Il existe un florilège de banques d’images gratuites, si vous ne voulez pas dépenser un seul peso. Alors oui, il y a de grandes chances que vous retrouviez les mêmes images sur les sites de vos concurrents mais au moins, elles seront libres de droit. Vous n’aurez donc pas de mauvaises surprises liées au droit d’auteur !
De Pixabay à Pexel en passant par Life Of Pix, de nombreuses banques d’images gratuites en ligne existent. Des millions de photos d’excellente qualité, sur tout type de sujet, qui vont permettront d’illustrer vos articles et autres pages web. Découvrez notre sélection :
2. Optimiser les images pour votre site web
Une fois que vous aurez fait vos petites courses sur votre banque d’images gratuites, il convient ensuite de minimiser au maximum le poids de vos visuels. Vous pouvez opérer de plusieurs manières différentes.
Réduire les dimensions de l’image avec GIMP
Eh oui, tout le monde n’a pas les moyens de se payer une licence Photoshop. Dans ce cas-là, le logiciel de création Gimp fera parfaitement l’affaire. En plus, il est totalement gratuit !
Compresser les images en ligne
Beaucoup plus rapide (pour ceux qui veulent gagner du temps) , la compression d’images fait partie du must en ce qui concerne l’allègement des images JPEG, PNG et même GIF.
Pour compresser une image JPG et PNG :
Pour compresser un GIF :
Compresser les images avec un plugin
En plus des outils gratuits en ligne, on retrouve également certains plugins, à l’instar de WordPress Imagify, qui permettent d’optimiser les images au moment du téléversement.
En bref, il s’agit d’un plugin qui, une fois activé, va compresser (avec ou sans pertes de qualité, à vous de choisir) vos images, les redimensionner et même les convertir en webp si vous le souhaitez !
Télécharger le plugin WordPress Imagify
Compresser les images avec Gimp
Chargées et enregistrées au format .xcf sur Gimp, les images peuvent être converties en JPG ou PNG en exportant l’image sous un autre nom ou autre format de fichier.
C’est à ce moment-là que s’ouvre une boite de dialogue « Exporter l’image comme JPEG », permettant le contrôle « Qualité ».
AVANT
APRÈS
Honnêtement, vous voyez une différence ? Et pourtant, l’image est passé d’un poids de 135ko à 66ko. Impressionnant, non ?
Voilà, vous avez désormais des images toutes belles et allégées, pour ne pas alourdir le poids de vos pages et optimiser la vitesse de chargement de votre site web. Mais ce n’est pas fini : le plus beau reste à venir !
3. Optimiser les images pour le référencement naturel
C’est la partie que l’on préfère : optimiser les images pour les intégrer dans votre stratégie SEO. Suivez les 2 étapes suivantes pour mettre en ligne des images qui vont vous aider à mieux vous positionner dans les résultats de recherche Google !
Nommer correctement votre image
Dans l’exemple ci-dessous, nous avons téléchargé cette image directement depuis Pixabay, qui nous propose le titre d’image suivant : legs-434918_960_720. Grosse erreur SEO, si vous ne modifiez pas ce titre avant de l’uploader sur votre site web !
En effet, les crawlers ne savent pas encore à même de comprendre une image. Et pour interpréter votre visuel, les robots vont s’appuyer sur les mots qui l’entourent, à commencer par le titre. Donc si vous souhaitez optimiser votre référencement naturel, préférez un titre d’image qui reprend vos mots clés mais qui décrivent aussi la scène.
Exemple pour la même image, si vous êtes une boutique qui vend des chaussures :
chaussures-converse-fenetre-voiture.jpg
Pas de majuscules, pas de caractères accentués et séparateurs entre chaque mot (tiret – ou underscore _ ).
Définir la balise ALT de l’image
C’est celle qui prend le relais quand le navigateur n’arrive pas à afficher l’image. Mais c’est surtout LA balise qu’il faut remplir pour contribuer à l’amélioration de votre référencement naturel. L’idéal serait de jumeler cette balise ALT à un titre h1, h2 ou h3 juste au-dessus. En gros :
<h2>Une tasse La Belle et la Bête pour les princesses modernes</h2>
<img src:"images/tasse-zip-la-belle-et-la-bete-1.jpg" alt="Tasse Disney La Belle et la Bête">
Où remplir la balise ALT dans WordPress ?
Dans le backoffice de votre site, rendez-vous dans la colonne de gauche. Cliquez sur Médias > Bibliothèque, puis sélectionnez votre image.
S’affiche ensuite la fenêtre ci-dessous :
Il ne vous reste plus qu’à compéter les champs libres !
Alors, prêt à avoir des images bien optimisées ?
Vous l’aurez compris : optimiser les images pour un site internet n’est pas bien compliqué. Les règles importantes sont les suivantes :
- Choisir uniquement des images libres de droits
- Réduire les dimensions ou compresser les images à uploader
- Renommer le nom de votre image sans majuscule et avec des séparateurs
- Remplir la balise ALT avec votre mot clé principal
À vous de jouer !