Bienvenue sur le blog ReferenSEO !
Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
En tout cas, on vous le conseille vivement si vous êtes en recherche de liberté ! 🤩
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Comme ce n'est pas la 1ère fois que vous venez ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
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Vers l’infini, et au-delà ! 🚀
En tant que rédacteur web, la seule limite pour améliorer la portée de votre activité, c’est votre imagination. Autant dire que si vous avez une imagination fertile, ce n’est pas vraiment une limite.
Si au début de votre activité de rédacteur web, vous aviez tendance à suivre les sentiers battus, ce n’est maintenant plus forcément le cas.
Vous avez pris vos marques, vous êtes plus à l’aise avec vos compétences, vous savez que vous obtenez des résultats… Bref : vous êtes un PROFESSIONNEL.
Or, quand on est à l’aise dans son activité, c’est l’occasion parfaite pour pousser le développement encore plus loin.
Par exemple, si vous avez envie de ramener encore plus de clients, le growth hacking peut être la solution toute trouvée. Enfin, “toute trouvée”, c’est une façon de parler.
Parce que plus qu’une discipline, le growth hacking est un concept assez abstrait, qui ne connait ni règles ni limites. Mais quand il est utilisé à bon escient, c’est une véritable machine de guerre pour ramener des clients !
Vous voulez en savoir plus sur la question ? Qu’à cela ne tienne : le growth hacking, définition !
Qu’est-ce que le growth hacking ?
Je ne sais pas si vous aussi, un jour, votre prof d’anglais de 4ème vous a dit “Think outside the box !”
Moi, oui. Et à l’époque, je n’ai pas compris.
Non seulement parce que je ne parlais pas un traître mot d’anglais, mais aussi parce qu’on ne m’a jamais appris à “penser hors des sentiers battus” (oui, j’ai fini par comprendre ce que ça voulait dire).
On ne va pas se mentir : sortir des sentiers battus n’est pas une chose qu’on apprend à l’école. Par contre, c’est quelque chose que l’on apprend quand on entre dans la vie active et qu’on côtoie d’autres personnes qui sortent des sentiers battus.
Et ce sont typiquement ces personnes-là qui ont inventé les techniques de growth hacking.
Pour revenir aux bases, le growth hacking est un concept qui a 3 objectifs clairs :
- Acquérir du trafic
- Convertir vos prospects
- Fidéliser votre audience
Un peu comme l’inbound marketing, mais à plus faible budget.
Aussi appelé “piratage de croissance”, c’est une espèce de MMA pour acquérir des nouveaux clients. Tous les coups sont permis, il n’y a pas de règles.
Le growth hacking, c’est donc un ensemble de techniques marketing, une stratégie, un état d’esprit qui permet de faire parler d’une marque à plus grande échelle. Et surtout, à faible coût.
Parce que le growth hacking repose avant tout sur l’innovation, sur le fait de tester des choses.
Une technique de growth hacking réussie est une technique qui attire l’attention et transforme les prospects en clients du même coup. Bref : c’est ce qui fait d’une start-up une multinationale.
Il y a quelques techniques “concrètes”, mais la plupart sont propres aux marques qui les inventent. Parce qu’une énorme part du growth hacking se trouve dans la créativité, et dans l’originalité de la façon de penser.
Comment fonctionne le growth hacking ?
Concrètement, le growth hacking fonctionne quand il “choque”. Il attire l’attention, trouble et fait parler de lui.
C’est la base.
Ensuite, il révèle une offre alléchante avec plein de bons points, ce qui permet de convaincre les prospects que c’est une bonne chose. Et boum : ils deviennent clients.
Ça paraît simple comme ça, mais trouver une technique de growth hacking qui fonctionne, c’est loin d’être facile. Parce que tout ça reste très abstrait, et s’attache aux marques qui les inventent. C’est ce qui fait toute la beauté de cette stratégie !
Pour vous donner un exemple, à ses débuts, Hotmail avait beaucoup de mal à se faire une place sur le marché.
Alors, ils ont trouvé leur propre technique de growth hacking. Au bas de chaque email envoyé, ils ont ajouté une petite signature :
P.S : I Love You. Get your free email at Hotmail.
Ni une, ni deux, en quelques semaines, Hotmail comptait plus de 12 millions d’utilisateurs. Et se faisait racheter par Microsoft.
Un coup de génie, qui a rendu des gens très riches, et d’autres gens très connectés grâce à une boîte email de qualité.
Sur une autre note, plus récemment, Airbnb a utilisé une technique de growth hacking pour devenir aussi populaire.
Le site a recensé toutes les annonces de location sur Craigslist (LeBonCoin des États-Unis). Il les a récupérées, a fait des meilleures photos, et… Voilà.
Airbnb est devenu une énième licorne en faisant du growth hacking. À la frontière du légal, certes, mais du growth hacking quand même.
Devenir growth hacker, ça s’apprend ?
La difficulté du growth hacking, vous l’aurez compris, c’est que ça ne s’apprend pas : ça s’invente. Littéralement.
Pour qu’une technique de growth hacking fonctionne aussi bien que les exemples que je viens de vous donner, il faut qu’elle soit unique, et s’attache à votre service en particulier.
Bien évidemment, en tant que rédacteur web, toucher un marché international à grande échelle comme Airbnb ne vous intéresse pas forcément.
Mais ce n’est pas pour autant que le growth hacking ne peut pas vous être utile ! Il existe en effet des techniques de growth hacking à bien plus petite échelle, qui consistent toujours à attirer l’attention et stimuler l’intérêt des prospects.
On ne va pas se mentir : on ne crache jamais sur une nouvelle salve de clients. Alors pourquoi pas mettre à profit vos talents de growth hacker pour le compte de votre autoentreprise ?
C’est une très bonne technique pour vous démarquer des concurrents, et marquer les esprits de vos futurs clients.
SEO et growth hacking : c’est compatible ?
Absolument !
Certaines techniques de référencement naturel sont considérées comme du growth hacking.
C’est par exemple le cas de l’optimisation des balises : pour tous vos titres (les fameuses zones chaudes), vous utilisez des termes évocateurs, qui provoquent l’attention et donnent envie d’en savoir plus.
De même, vous pouvez vous assurez que vos balises Title et méta descriptions correspondent bien aux intentions de recherche, afin qu’elles ciblent les bons internautes.
Ce sont deux petites techniques de growth hacking, mais qui peuvent faire toute la différence du point de vue de votre notoriété. Parce que quand on est rédacteur web, ce sont les petits détails qui attirent l’attention des internautes. Et qui font que les techniques fonctionnent.
Sur une autre note, vous pouvez aussi miser sur le content spinning. Si vous ne connaissez pas encore cette méthode, il s’agit de rédiger un contenu unique avec des données variables, afin d’obtenir plusieurs contenus différents à l’issue du content spinning.
Mais attention !
Avec certaines techniques de growth hacking, la frontière entre white hat SEO et black hat SEO est fine.
C’est par exemple le cas du content spinning : si vous en abusez ou que vous le faites mal, Google risque de vous sanctionner.
C’est pareil avec le growth hacking : sortir des sentiers battus implique parfois de flirter avec la légalité, mais attention à ne pas dépasser la limite.
Utiliser le growth hacking pour attirer des clients : on fait comment ?
Il n’y a pas de recette magique pour apprendre le growth hacking. Et encore moins pour le mettre en place sur votre site.
Concrètement, ça fonctionne un peu comme les revenus passifs sur internet. Vous pouvez calquer votre growth hacking sur ce que les autres ont fait, mais ça ne marchera jamais mieux que si vous faites quelque chose de nouveau !
Alors inspirez-vous de ce que font les autres rédacteurs web, faites vos recherches, et trouvez votre voix unique : vous aurez tout ce qu’il faut pour mettre au point votre propre growth hacking.