Bienvenue sur le blog ReferenSEO !
Si vous êtes nouveau ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
En tout cas, on vous le conseille vivement si vous êtes en recherche de liberté ! 🤩
Bienvenue à nouveau sur le blog ReferenSEO !
Comme ce n'est pas la 1ère fois que vous venez ici, vous voudrez sans doute découvrir notre formule inédite pour vivre de votre écriture sur le web.
En tout cas, on vous le conseille vivement si vous êtes en recherche de liberté ! 🤩
Le plus grand ennemi du journaliste, c’est de ne pas vérifier ses sources.
En tant que rédacteur web, vous avez cet avantage de ne pas avoir besoin de vérifier la solidité absolue d’une source que vous utilisez (même si c’est vivement recommandé).
Tout simplement parce que vos contenus rédigés reposent généralement sur les recherches que vous faites. Autrement dit : vous vous basez sur d’autres contenus pour créer le vôtre.
Toutefois, le rédacteur web a un autre ennemi que la vérification des sources.
Cet ennemi, c’est le plagiat.
Et il n’y a pas à dire : c’est un boss assez costaud, auquel on évite absolument de se frotter !
Parce que les conséquences du plagiat peuvent être lourdes pour la pérennité de votre activité de rédacteur web.
Vous vous interrogez sur les règles à suivre pour éviter de plagier ?
Vous avez peur de faire du plagiat sans vous en rendre compte ?
Je vous explique tout dans cet article.
Concrètement, qu’est-ce que le plagiat sur internet ?
Vous le savez probablement déjà, mais faire un point sur le sujet ne peut être que positif !
Le plagiat consiste tout simplement à copier un contenu existant, et à vous l’approprier. Comme si vous faisiez un copier/coller d’un autre site, sans citer vos sources, directement sur votre site pour que les internautes pensent que vous l’avez écrit.
Il existe deux types de plagiat : le plagiat direct, et le plagiat indirect.
Le plagiat direct peut être interne ou externe :
- Le plagiat direct interne : vous avez copié/collé un contenu sur votre propre site, pour le republier sur ce-même site. C’est alors du contenu dupliqué, et Google sanctionne ça car ça diminue la qualité de l’expérience client.
- Le plagiat direct externe : vous avez copié/collé un contenu sur un site extérieur, pour vous l’approprier sur le vôtre sans citer vos sources.
Dans les deux cas, le plagiat direct est sanctionné. Et c’est aussi le cas du plagiat indirect !
Ce qu’on appelle le plagiat indirect, ce n’est pas un simple copié/collé. C’est la ré-utilisation d’une idée, d’une phrase ou d’une image sans citer les sources, et en essayant de vous la réapproprier.
Par exemple, si vous livrez un contenu à un client qui contient la phrase “Les facultés ont mis en place un nouveau logiciel anti-plagiat, pour identifier les étudiants qui trichent en essayant de copier des phrases issues de livres et de rapports d’experts”.
Et que deux semaines plus tard, vous livrez un contenu à un autre client contenant cette exacte-même phrase, c’est du plagiat indirect. Et même de l’auto-plagiat indirect, même si officiellement vous cédez vos droits d’auteur à votre client.
Il en va de même si vous ne changez que quelques mots pour essayer de passer entre les mailles du filet. Un conseil : ne le faites pas, Google le saura. Et si Google le sait, il vous sanctionnera.
Quelles sont les conséquences du plagiat ?
D’ailleurs, parlons-en : que risquez-vous en faisant du plagiat sur internet ? Les conséquences sont aussi diverses que variées.
La perte de crédibilité
Tout d’abord, se faire prendre la main dans le sac en pleine tentative de copier/coller, c’est pas glorieux.
Surtout si c’est dans le cadre d’une mission client : vous pouvez alors dire adieu à votre crédibilité de rédacteur ou rédactrice web.
Et même si vous vous faites prendre sur votre propre site. Si Google vous surprend en train de plagier, c’est la sanction immédiate.
Or, les sanctions de Google peuvent être très lourdes puisqu’elles peuvent aller d’une simple (mais pénible) baisse de visibilité, à une désindexation complète de votre site.
Dans ce deuxième cas, votre site disparaît des écrans radar : vos clients ne peuvent plus vous trouver. Bref, ce n’est vraiment pas pratique pour la pérennité de votre activité, ni pour la qualité de vos nuits de sommeil.
La perte d’un contrat client
En plus de perdre votre statut d’expert si vous vous faites prendre en train de plagier dans le cadre d’une mission client, vous pouvez aussi dire au revoir à la mission en question.
Je ne connais que très peu de clients qui accepteront de travailler avec vous si vous leur livrez des contenus pompés sur d’autres personnes. Sauf si c’est une simple maladresse de votre part bien sûr, mais nous reviendrons sur ce sujet.
Les conséquences juridiques
Pour finir, sachez que l’auteur du contenu original (celui sur lequel vous avez pompé) a tous les droits de se retourner contre vous. Et par ça, je veux dire qu’il peut vous coller un bon procès au derrière.
Parce qu’au titre de la propriété intellectuelle, le plagiat est considéré comme du vol.
Je ne connais pas l’étendue des sanctions pénales, mais disons qu’il est préférable d’éviter de passer par la case prison sans même récolter 200€.
Quelles sont les règles et astuces à respecter pour éviter le plagiat ?
Maintenant que vous êtes terrifié à l’idée de faire un faux pas et de plagier, on va pouvoir prendre le temps de se concentrer sur quelques règles pour apprendre à reformuler sans plagier.
Ne vous inquiétez pas : si vous prêtez attention aux informations que vous utilisez et que vous appliquez ces quelques astuces, vous êtes tranquille !
Citer vos sources
La première chose à faire dont on ne parlera jamais assez : citez vos sources !
Étant donné que vous reposez votre contenu sur le contenu des autres, il est tout à fait normal de réutiliser des informations. Et vous en avez parfaitement le droit, si vous citez vos sources.
Par le biais d’un lien ancré ou simplement en mettant entre parenthèses le nom de l’auteur et l’article sur lequel vous avez trouvé ces informations : vous voilà en totale sécurité.
N’oubliez pas que le plagiat est du vol. Ce qui veut dire que si vous réutilisez un contenu sans vous l’approprier, vous n’êtes pas dans un cas de plagiat.
Il suffit de rendre à César ce qui appartient à César !
Le petit + :
Si vous voulez vous protéger davantage, je vous recommande de garder une trace de vos sources. C’est assez peu probable, mais en cas d’accusation à tort vous pourrez ainsi vous défendre en montrant toute la trame des sources que vous avez utilisées pour tel ou tel article.
Ne pas copier/coller de contenu
Le B.A-BA, la base de la base : ON NE COPIE/COLLE PAS.
Oubliez le copier/coller, contentez-vous de reformuler : ce n’est pas si compliqué, il suffit de suivre quelques règles.
Si vous ne savez pas où commencer pour apprendre à reformuler sans plagier, j’ai créé un article entier dédié à cette question.
Utiliser un logiciel anti-plagiat
Comme on l’a évoqué précédemment, il peut arriver que l’on plagie malgré nous.
Vous avez fait vos recherches et lu plusieurs articles sans faire de copier/coller, mais malgré vous, une phrase vous reste en tête. Une phrase que vous écrivez dans votre article, sans vous interroger sur son origine.
Et en fait, cette phrase, vous l’avez lue sur un autre site. Malheur !
Ça peut arriver à tout le monde, et ça ne fait pas de vous un tricheur. Mais il est indispensable de détecter ces plagiats non intentionnels avant qu’ils ne soient publiés.
Comment faire ?
Tout simplement en utilisant un logiciel antiplagiat ! Il existe toute une liste de logiciels anti-plagiat performants qui vous permettent de faire passer votre texte et d’écumer internet pour voir s’ils trouvent des similitudes.
Ils peuvent aussi mettre en avant ces similitudes, pour vous permettre de reformuler les phrases problématiques. Comme ça, pas de risque de plagiat : toute phrase un tantinet problématique est mise en avant.
Bien choisir vos mots clés
Si je peux vous donner une astuce pour éviter le plagiat, c’est de bien choisir vos mots clés.
Choisissez ainsi des mots clés différents de ceux de vos concurrents (dans la limite du possible), mais aussi de ceux que vous avez déjà choisis précédemment.
Ainsi, vous évitez de tourner en rond et d’utiliser les mêmes mots clés dans deux contenus différents. Toute astuce est bonne à prendre pour éviter le plagiat !
Jouer avec le champ sémantique
Toute la beauté du choix d’un bon mot clé se trouve dans le fait qu’il vous ouvre les portes d’un champ sémantique unique.
Or, ce champ sémantique est un groupement de termes et de synonymes que vous pouvez faire tourner et employer à certains moments, pour éviter de vous répéter.
Prenez le temps de jouer un peu avec le champ sémantique en utilisant des synonymes, pour éviter tout risque de répéter vos contenus ou de pomper malgré vous sur le contenu d’un autre.
Ne pas écrire deux textes identiques à la suite
Enfin, dernière recommandation pour reformuler sans plagier : n’écrivez pas deux textes identiques à la suite.
Il peut arriver, que dans le cadre d’une mission, votre client vous demande de rédiger plusieurs fiches produits portant sur un même objet, dans des coloris différents.
C’est le test ultime pour éviter le plagiat ! Pour ne pas reprendre les mêmes phrases et informations, je vous recommande de laisser passer plusieurs heures entre la rédaction de chaque texte.
Ainsi, vous évitez que votre premier contenu soit encore frais dans votre tête, pour ne pas avoir envie de réutiliser les mêmes phrases.
Éviter le plagiat : le B.A-BA du rédacteur web !
Quand on est rédacteur web, apprendre à reformuler les informations sans les plagier est indispensable. Et c’est un sujet sur lequel il faut vraiment se pencher, pour éviter tout risque de plagiat involontaire !
Avec ces petites règles et astuces (et une bonne dose de bonne volonté), vous éliminez tout risque de copier malgré vous.
De quoi garantir la création de contenus originaux, pour ravir vos clients et les algorithmes de Google !